Alors que tout le monde s'impatiente et compte les jours avant la sortie de Star Wars: Le Réveil de la Force un débat refait surface. Faut-il commercialiser les jouets à l'effigie de La princesse avec son très controversé bikini quand elle était esclave ? Disney avait tranché en interdisant tout simplement à tous ses partenaires de créer des objets à effigie de Leia en mode esclave de Jabba !
Rappelons nous cette fameuse scène, le tout en HD :
Bien que les fans de la saga ne comprennent pas cet acharnement contre un des costumes les plus célèbres du cinéma, ce bikini et la fameuse chaine d'esclave ne plaisent pas à tout le monde.
Carrie Fisher est remontée contre la décision de Disney !
Qui mieux que la principale intéressée pour défendre cette cause ?! Carrie Fisher a un avis bien tranché sur la question et répond à un journaliste du Wall Street Journal :
Le journaliste : il y a eu un débat récemment qu'il ne devrait plus y avoir de produits dérivés de vous dans le Retour du Jedi en bikini !
Carrie Fisher : Je pense que c'est stupide.
Le journaliste : d'arrêter de faire ses produits dérivés ?
Le père qui flippe à ce sujet : "que vais-je dire à mon enfant pour expliquer cette tenue ?" Il n'a qu'à leur dire qu'une limace géante m'a capturée et m'a forcée à porter cette tenue stupide, et puis je l'ai tué parce que je n'ai pas aimé. Et puis j'ai enlevé la tenue.
Jabba est un testicule géant !
Le LA Times lui a posé la même question et sa réponse est encore meilleure :
Carrie Fisher : pourquoi ne pas dire à sa fille que le personnage porte cette tenue non pas parce qu'elle a choisi de la porter mais parce qu'elle y a été forcée. Elle est prisonnière d'un testicule géant et baveux et elle ne veut pas porter cette chose. En fin de compte, elle va utiliser la chaine qu'elle porte autour du cou et qui est un symbole de l'univers SM pour tuer la testicule géante .... Voilà c'est idiot"
Super… maintenant il va être difficile de voir Jabba le Hutt autrement que comme une testicule géante baveuse !
Par LaPetitePeste, il y a 8 ans :
le débat inutile…
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